
Un témoignage visuel sur une période inédite.
Pour les éditions Helvetiq, mise en page du livre de photographies de Marko Stevic et des textes de Caroline Stevan.
Helvetiq / Lausanne / 2020
«Il y a quelques siècles, sous le balcon de Juliette, Roméo aurait pu exhorter «Be my Valentine». Au printemps 2020, Roméo est remonté dans ses appartements et Juliette, peut-être, lui a proposé: «Be my Quarantine». Ainsi ont vécu les amoureux et le reste du monde, confinés ou semi-confinés.
Depuis le trottoir, Marko Stevic les a photographiés, ces apparitions de théâtre. Comme un collectionneur de papillons, il a épinglé les terriens à l’heure du coronavirus sur leurs façades bigarrées. Caroline Stevan, elle, a récolté les échos tristes et joyeux de cet univers bouleversé.»

«Un livre poétique et envoûtant […]»
Le Matin Dimanche, 13 septembre 2020
«Un beau livre»
La Liberté, 3 octobre 2020
«Prenez le temps de feuilleter Be my Quarantine, qui revient en textes et en photos sur l’étrange période du confinement.»
La Croix, 10 octobre 2020
«Cet album souvenir de portraits en contre-plongée […] nous emmène dans un passé récent.»
Coopération, 13 octobre 2020
«Prodigieux livre de photos […]»
«[…] le moyen format bien épais qu’est «Be my Quarantine» célèbre la vie, même la vie à distance, même la vie au balcon.»
Lu cie and co, 27 octobre 2020
«Une mise en page subtile, simple et efficace.»
«Une vision positive et lumineuse d’une expérience pénible.»

«À l’annonce d’un semi-confinement, que fait un photographe? Il sort.»
«Helvetiq met également Marko Stevic en contact avec la journaliste Caroline Stevan, dans l’idée d’accompagner les photos de «respirations» poétiques ou pragmatiques, entendues ou imaginées. Par l’image et par l’écriture respectivement, tous deux documentent cette situation singulière. On peut reconnaitre quelqu’un dans une photo, mais dans une phrase, aussi.»
«Les images sont mises en page par Donatella Foletti-Ranjan à la hauteur de la diversité des sujets. Les jeunes et les aîné∙e∙s, les sobres et les excentriques, les sourires et les regards indéchiffrables se retrouvent en grand format ou en pellicule, avec pour voisins d’autres balcons, des textes ou un espace.»
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